Onelas, le jeune artiste prometteur de la scène rave

Soif de nouveauté ? 
Une grosse bombe inédite se dévoile aujourd’hui sur SoundCloud. Après une longue absence pour Onelas, le jeune artiste revient en force pour le plus grand bonheur des amateurs de Techno. 

Originaire de Caen, ce talentueux producteur est également résident du collectif normand OizIl excelle dans le milieu rave, Techno, Indus et Acid grâce à ses productions et ses mixes envoûtants. 

Bercé dans l’univers musical depuis son plus jeune âge, voilà désormais trois années qu’il se produit lors d’événements électroniques entre la capitale et Caen. Attirer principalement pour ce qui est de la Techno/Indus Onelas apprécie par ailleurs ce que font Trym et Nico Moreno 

Productivité au maximum 
A son actif, on retrouve pas moins d’un EP, deux albums et de nombreuses tracks poignantes ainsi que des collaborations sur les labels Vein Label, Alienator Records, Basses Besognes ou bien encore Tremendous Records et sur Gomboc Records avec son ami D44 du collectif La Quarantaine.

Après s’être créé une place sur la scène française, Onelas nous a confié qu’il souhaitait désormais s’exporter au delà des frontières afin de mettre en avant son remarquable travail et sa détermination.

Bien évidemment beaucoup de projets sont en cours. Nous savons d’ores et déjà que des EP, des tracks sortiront prochainement sur des labels locaux et internationaux. 

Track surprise détonnante 
Masterisé par PrettyMess Lab et superbement imagé par un artwork by Kaalia. Sur quelle chaîne YouTube figurera cette nouvelle track ? Surprise ! La balance pèse entre HardVision ou bien Chain anciennement connu sous le nom de French Techno où plusieurs de ses tracks furent relayés auparavant. 

Au rendez-vous une sonorité rave accompagnée de gros kicks distordus comme on les aime. Mais aussi une surprenante voix d’Éléphant avec une grosse réverbe apportant profondeur, qui selon nous marquera les esprits de plus d’un. 

Une track qui vaut le détour, peut-être qui sait, qu’elle prendra place à l’avenir dans nos terribles warehouses parisiennes.